Un autre expatrié prend la direction de l’équipe senior. A ce qu’il parait, un salaire mirobolant est accordé à ce nouvel entraineur pour les besoins de la cause. On parle de 400 millions Gnf.
Prompte à colmater les brèches, la Feguifoot a préféré jeter son dévolu sur un footeux qui n’a pas forcement bonne presse dans son pays : la Belgique.
Vraisemblablement, il a été condamné pour avoir ‘’vendu’’ un match. Le football guinéen, on le sait, est devenu le sujet récurrent de toutes les contreperformances. Il continue d’engloutir des milliards sans résultats probants.
Toujours est-il que l’opacité et l’imposture ont de bons jours devant elles. Le stade de Nongo, fruit de la coopération sino-guinéenne, injustement et unilatéralement attribué à l’homme d’affaires Antonio Souaré, n’est toujours pas opérationnel.
A la tête d’un empire financier, Antonio est incapable de faire fonctionner l’unique stade à l’architecture moderne. L’homme règne en maitre sur le football guinéen.
Autant dire que la question d’infrastructures reste au cœur des débats. Mais la priorité du président de la Feguifoot est ailleurs. Il s’agit de perpétuer la saignée financière au grand dam des supporters de la sélection nationale.
Comme au bon vieux temps, Antonio est sur les traces de Salif Camara Super V. Jusqu’à preuve du contraire.
M. MORGAN
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