Cette révélation a été faite ce mardi
par le Front des victimes de pillages de projets et des biens(FVPPB).C’était à la maison de la presse sise à la Minière dans la commune de Dixinn. » La corruption, la plus scientifique des prédataires écologiques en Guinée » a été le thème central. « Je reproche à ces deux anciens ministres, Oyé Guilavogui et Aissiatou Baldé de corruption, de pillage de programmes de développement et surtout de destruction de carrière. Parce que depuis six (6) ans, ils nous ont dépossédés de nos contributions, de nos projets dont la plupart nous avons fait un dépôt du bureau guinéen du droit d’auteur. C’est la raison pour laquelle nous avons porté plainte à la CRIEF (Cour de répression des infractions économiques et financières) depuis le 7 avril dernier. Et, nous avons été entendus par la chambre d’instruction et de contrôle de la CRIEF dont nous saluons la démarche et la procédure », a expliqué le Coordinateur du Front des victimes de pillages de projets et des biens(FVPPB) et président de la Fédération guinéenne des promoteurs de la filière moringa, Mody Oury Moringa Diallo.
J’aurais retrouvé mon projet programme de reforestation de la planète déroulé par la Belgique/Bruxelles, celui également, une naissance, un arbre, a-t-il ajouté. « Etant donné que c’est nous qu’avons réveillé la révision de cette loi (Loi Fria), qui était désuète. Mais dès que les gens ont vu la pertinence de la chose, petit Touré (Cipad) et d’autres acteurs se sont invités dans nos initiatives, en toute impunité.
L’escroquerie intellectuelle a atteint des proportions inquiétantes en république de Guinée. Imaginez, sur 230 000 000 de francs qui constituent le coût de la révision de la loi FRIA, c’est seulement 40 000 000 de francs ont été payés. Aujourd’hui, la seule chose que le FVPPB réclame auprès de la justice guinéenne reste la réparation des dommages et intérêts… », a lancé Mody Oury Moringa Diallo
Baillo Diallo pour Conakrynet.com